OPÉRA (CÂLINS 9)

Le rideau de velours, lourd et imposant.
L’acoustique est parfaite.
On y joue un classique.
Le monde, la vie sont une fête.
Je sens une larme monter, je ferme les yeux.
Je me revoie derrière toi dans mes bras.
Je t’embrasse le cou.
Je serre ma main, la tienne est dedans.
Finesse, mets nous en plein la vue.
Tristesse, envole-toi à jamais.
Tous se vit mieux quand tu es là.
Ma vie avec toi.
J’ouvre les yeux.
Tu existes et c’est merveilleux.
Le spectacle commence.
Il ne finira jamais…

Publié dans : Câlins, Pôesie |le 12 février, 2011 |1 Commentaire »

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1 Commentaire Commenter.

  1. le 4 juin, 2011 à 11:55 Betty écrit:

    Que n’aimerais-je y croire encore !
    C’est encore trè beau, sincère et spontané.

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