525 TDS
5 vitesses longues.
2 optiques remarquables.
5, série de prestige…
Transhumant mon âme.
Décuplant ma grâce.
Supernova des grands chemins.
F. de l’O.
5 vitesses longues.
2 optiques remarquables.
5, série de prestige…
Transhumant mon âme.
Décuplant ma grâce.
Supernova des grands chemins.
F. de l’O.
Nord-Sud, ou les moins avancés sont classés par les développés
Il y a là de quoi crier gare à ceux qui jugulent
Nous , toi et moi, cueillons les fruits sucrés
Amour simple pour le vrai, le pur sans émule
Un seau, un sécateur et une souche,
Nous voilà tous dans les rangs.
Le soleil assèche nos bouches,
Aussi lou fréjeau,les cepes et sarmants.
Naissances d’un millésime à Orange,
Le fruit de belles vendanges.
F. de l’O.
Un trésor
Tout l’or du monde,
Toutes les bêtises de l’homme,
Toute la cruauté de la vie,
Ne sauraient voler ce trésor.
L’amour de tes proches,
La solidarité humaine qu’ils attirent,
La vie qu’ils te donnent,
Les sourires en prime
Les pleurs silencieux s’envolent face à ton courage.
Accroches toi bonhomme, montres nous le chemin
Vers un bonheur perdu par la plupart d’entre nous.
Rien ne vaut l’amour, et tu l’as trouvé.
Sincère amitié.
F. de l’O.
L’unicité de la vie ne l’empêche d’être diaprée.
Tout ce que le monde nous offre, tout ce qu’il nous prend.
Un enfant a le coeur assez grand pour l’engloutir.
Faut-il être fou alors pour oser grandir.
En route vers une fin sans prédestinée,
Appétit pantagruélique, obésité de vie.
J’enseigne cette matière en poèmes maniérés.
F. de l’O.
Un esprit dévoyé,
Mais quel est le droit chemin?
Dévolu, son sort est jeté,
Choix de vie incertain.
Dans cet infernale tourbillon,
Un rouet comme guide,
Sans entrave: dérépression,
Survivre hors de ces brides.
Prix d’une sédition,
Qu’il fût échu,
Tarif de liberté.
Soupir en amont,
Aval sans juge,
Voilà ce qu’est s’aimer!
F. de l’O.
Comme cette joie qui traverse devant la misère. Un instant d’éternité!
F. de l’O.
Plus que chocolat, trop conventionnel,
Je te sens, parfum des îles.
Adoucis l’acide de la citronnelle,
Couleur qui sied à la crinoline.
Monde de combat,
Je te veux douceur.
Grâce du renard,
Par un loup sans peur.
Sourires plaisant,
Bien être d’amants,
Vie sans peines
Une seule vie,
Ici, tant pis,
Vanille comme reine.
F. de l’O.
Il ne faut jamais dire « je t’aime », il faut le faire.
F. de l’O.
Une fourmi se ballade, elle n’a plus de temps et seulement cinq pattes. Dans ma cuisine je la regarde voler mon sucre sans prendre de contrôle. Elle est fatiguée, traces de son long périple. Loin est son nid et l’odorat ne sait plus la guider. Instinct de préservation, elle prend la peine dans ses solutions. Je ne la fais pas fuir et même je l’admire. Une guerrière j’en suis sûr, qui a gagné contre toutes pointures. Elle s’en va en peinant mais laisse une trace de son vivant. Leçon de courage pour nous qui sommes perdus. Je laisse l’éponge et pose un peu de miel, elle reviendra et j’aurai soin d’elle.
F. de l’O.