Nuit

Silence tout autour, le monde cesse d’exister
Demain sera jour, je vis seul et distancé.
Valses ou Mazurkas font trois temps, premier ou deuxième marqué
Mais moi c’est dans le troisième que je cherche le restauré.

F. de l’O.

Publié dans : Pôesie | le 16 février, 2011 |Pas de Commentaires »

AAA

Je suis en train de découvrir une chanson de Yes « The Solution ». Terrible! Des oiseaux, la plage,le vent, un grillon, des voix! Je ne la connaissait pas!

THEORIE AAA
(Par F. de l’O.)

1°) A comme AMI.
L’amitié est sacrés. C’est quand, d’un regard ininterressé on prend soin de quelqu’un. Cela ne meurt pas sinon c’est que cela n’a pas existé. On se sépare pendant des années mais si un soucis arrive, on agit plus vite que le voisin. Ce n’est pas le copain qui va dépanner en huile pour la salade de midi, mais celui qui connait peurs et faiblesses. Confident, défouloir,… Deux vies distinctes mais qui savent être ensemble. Si tu pleures,… non! ne pleures pas je suis là! Si je pleure, ce n’est pas à cause de toi. Oh et puis, pleurons ensemble! On rira ensemble plus tard. Ca aussi il faut le faire. Partage des bonheurs. Respect des vies, sans jalousies…

2°) A comme AMANT.
Il n’y a pas de mal à se faire du bien! Sensation corporelle. Choix des lieus, des positions. Coquin, passion, déraison! Plaisir avant tout. De donner. De recevoir. Sans tabouts. Pour moi, pour toi. A cet instant. On se fou d’avant, on se fou d’après. Pas de questions inutiles, juste du plaisir. On se fou du qu’en dira-t-on, juste du plaisir. On se fou de tout, juste du plaisir. Réciproque. Ensemble. Pour les détails technique, laisson le Kama Sutra dans le tiroir, les notices techniques sont trop compliquées. On n’est pas chez Ikéa!!!!

3°) A comme AMOUR.
L’amour c’est le « Rock » en musique. Description précise d’un style qui en fait en englobe tant. Trois définitions sont nécessaires. Comparables à la vie.

-Naissance.
Aimer est être égoïste. Le nourrisson aime sa maman. Pour son sein, il a faim. Pour son bain. Pour ses angoisses. Je prends sans me soucier de l’autre. Il n’existe que moi en fait! Sans remors.Jaloux? Egoïste? Surement. Mais amour quand même!

-Adolescence.
On a reçu le lait maternel mais on en a en plus la « conscience ». Maman il a besoin de toi et il te rend ce que tu fais pour lui. Partage. On a besoin de l’autre mais on veut lui donner. Amour interresser mais on sait qu’il faut payer. Respect de l’autre. Et toujours amour.

-Adulte.
La maman donne au nourrisson. Sans avoir besoin de rien. C’est l’amour mystique. Celui que le « seigneur » dit dans sa bible. Je me sens obligé de rajouter qu’imposer des lois telles que « il faut croire en moi » se compare à de la dictature! Mais c’est un autre sujet. Cet amour est complètement désinterressé. C’est faire un don dans l’anonimat le plus complet. C’est l’abbé pierre et son Emaüs! Pour l’autre. Je n’existe pas. Amour.

Difficile de décrire l’amour mais, n’importe qui (un enfant, un voyou, une femme…), n’importe quoi (une idée, un chien, une passion,…), ou autre, il faut aimer. Et c’est ça qui fait l’amour. Que quelquechose existe. Ta silouhette ou les echos des tams tams Africains.

4°) AAA.
Une relation est basé sur le savant mélange des trois A. Amis Amants et Amour. N’être qu’un des trois peut, selon lequel, représenter un danger. Ce mélange varie en fonction des jours, du temps, des personnes… Un soir ils seront plus amants! Appétit sexuel! Un jour ils seront plus amis. Tiens mes épaules si tu pleures. Avoir conscience de cela. Penser à dynamiser le dosage. Toujours alimenter le réservoir de chaque « A ». Sinon de relation il n’est plus possible! Ce dosage dépends de beaucoup certes mais il faut savoir donner et savoir prendre. Ne plus donner ou ne plus prendre, les deux sont briseur de relation. Alors donnons de l’amitié, du plaisir, de l’amour! Attention au dosage, c’est la définition de la relation!

F. de l’O.

Publié dans : Non classé | le 13 février, 2011 |3 Commentaires »

Hendreaumedia

Harmonie dans les vers,
Ellipses, rhétoriques et synecdoques.
Nappage de l’âme d’hier,
Désir, plaisir de l’Aristote.

Rare cette perle au milieu des cailloux,
Endiamantée sur des images un peu floues.
Attirance, guide donc le poète,
Uchronies aux parfums acétiques.

Mécènes de ces oeuvres,
Écoutes l’oiseau et son choeur.

Décemment, nourries le d’aventures,
Iliade, Odyssée ou autres peintures.

Achalandage de bien être.

F. de l’O.

Publié dans : Pôesie | le 12 février, 2011 |Pas de Commentaires »

Les mots (CÂLINS 11)

Je les écrits, je les prononce,
Je te les lis, je te les énonce.
Je trouverais les plus beaux,
Je t’inventerais les plus chauds.

Des mots couleur de vie,
Pour t’aimer à l’infini.
Des mots parfum du temps,
Pour l’amour le plus grand.

Je joue avec,
Cela m’amuse ma chérie,
Mais jamais de tricherie.

Ils sont direct,
Sans hésitation aucune,
C’est mieux qu’une fortune.

Publié dans : Câlins, Pôesie | le 12 février, 2011 |2 Commentaires »

Dans le bain (CÂLINS 10)

Je suis allongé dans le bain. Il est un peu trop chaud quand même. Tu es dans mes bras. Les cheveux attachés. Ton cou. De la mousse, à peine, sur le nez. Je te parle, tu t’endors presque. Je caresse tes épaules. Mes jambes entourent les tiennes. L’eau clapote. Nous sommes sur de ne pas nous quitter, jamais. Tu t’arranges, le froid de l’air viens perturber ta peau qui s’était très vite accommodée à la chaleur de l’eau. Tu frissonnes, je suis là! Je t’embrasse. Tu remontes un peu plus, nous sommes côte à côte. Serrés!!! Je t’installe, tu es bien. Baisers, nos bouches s’entremêlent. Je détache tes cheveux, tu râles un peu. Il va falloir les sécher après. Désolé! Je suis un enfant. Nous sommes des enfants! Un « Je t’aime » sort de ma bouche. Tu souris. Si beau sourire d’ailleurs. C’est si bon d’être ensemble. L’eau a un peu refroidi. Tu veux sortir? Jamais, me réponds-tu. Je suis le plus heureux des hommes. Tu es… ma femme. Je prends le savon, je te relève, assise et je te masse le dos, les épaules et le cou. Ca fait du bien, ce cou qui se bloque toujours! J’y vais en douceur. A peine plus que des caresses. Nous sommes même un peu ivre. La tête tourne. Relaxes toi, je m’occupe de toi. Je veux que tu soies toujours fièr de moi. Je veux toujours du plaisir pour toi. Je désire tant être ton bonheur. Je désire tant être ce que tu représentes pour moi… J’ai des mots en tête. J’écrirais plus tard s’il veulent bien y rester. J’ai des musiques dans l’âme, je te les fais partager. Soon! Toute la vie. Que désires tu à cet instant, j’èspère rien! Sinon, je cueillerai à travers le monde entier la moindre de tes envies! C’est l’heure de sortir de là. Déjà! Mais la soirée ne fait que commencer ma chérie. On se douche, on se rince bien, on s’aime! Je te serres fort dans mes bras! Trop? Je déserre un peu! Je me sèche, je te laisse la salle de bain, prépares toi! Ce soir on sort à l’opéra… Nous sommes les plus beaux! Et je t’aime tant mon amour.

Publié dans : Câlins, Pôesie | le 12 février, 2011 |2 Commentaires »

OPÉRA (CÂLINS 9)

Le rideau de velours, lourd et imposant.
L’acoustique est parfaite.
On y joue un classique.
Le monde, la vie sont une fête.
Je sens une larme monter, je ferme les yeux.
Je me revoie derrière toi dans mes bras.
Je t’embrasse le cou.
Je serre ma main, la tienne est dedans.
Finesse, mets nous en plein la vue.
Tristesse, envole-toi à jamais.
Tous se vit mieux quand tu es là.
Ma vie avec toi.
J’ouvre les yeux.
Tu existes et c’est merveilleux.
Le spectacle commence.
Il ne finira jamais…

Publié dans : Câlins, Pôesie | le 12 février, 2011 |1 Commentaire »

HUIT (octobre antique de Rome) (CÂLINS 8)

Une seule chose à faire, un câlin.
Deux personnes ils faut donc, toi et moi.
Trois couleurs primaires dosées à la perfection.
Quatre membres enlacés dans l’étreinte.
Cinq doigts par mains, libres et unis.
Six heures durant, et même plus.
Sept jours par semaine ainsi enlacés.
Huit planètes solaire que nous visitons.

Publié dans : Câlins, Pôesie | le 12 février, 2011 |Pas de Commentaires »

AIMER (CÂLINS 7)

T’aimer tout simplement.
T’aimer à chaque instant.
T’aimer pour toute ma vie.
T’aimer même dans le « Gobi »

Te câliner, j’adore.
Heureuse et vivante.
Te caresser quand tu dors.
Je suis ton servant.

Des câlins, je t’adore.
Des câlins encore et encore.
Et encore et encore.
Gourmands du bien.

Et encore et encore….

Publié dans : Câlins, Pôesie | le 12 février, 2011 |Pas de Commentaires »

SENSUALITÉ (CÂLINS 5)

Je suis le plaisir des sens,
Je touche, je goute, je regarde, j’écoute, je sens!
Mais plus que ça, je marie toutes informations dans un seul but.
Plaisir, le mien ou le tien! Le notre c’est sur!
J’ai froid: frisson envahi moi!
J’ai chaud: sueur enivre moi!
Une caresse sur le ventre, bonheur sensuel.
Un massage réveille l’épiderme.
Des châtaignes au four, la bonne odeur dans la maison.
Les quatre saisons de Vivaldi, douceur tympanique sur la justesse du violon.
Une sauce piquante, conscience de notre bouche.
Un baiser profond, reflet de l’âme opposé.
Je veux t’offrir tout ça!
Mais il est un ingrédient qui fait la différence.
En plus de te faire ressentir le bien,
D’ailleurs bouges tes orteils et dis leur bonjour,
Ressens l’existence de chaque partie de toi,
Il est l’essentiel qui viens cimenter tout ça.
L’amour!
Et tu sais, je t’aime!
Et nos précieuses vie serons unies.
Par notre amour.
Unique et entier.
Le tien et le mien sont le même.
Toi c’est moi et moi, je fond de toi.
Nos précieuses vie donc serons sensuelles!
Car nous serons vivant tant que la nature nous laisse ce droit!
Et nos cinq sens seront toujours nourris par le meilleur!
Tu préfères la chaleur au froid!
Je répond qu’avec un glaçon on peut faire beaucoup de bien…
Tu préfères le calme au bruit!
J’espère bien t’entendre crier à plein poumon de plaisir…
Tu préfères la douceur à la force!
Serres moi de toutes tes forces quand tu me vois…
Quoique l’on vive, cela doit se faire avec fureur!
Toujours du plaisir, jamais de sommeil de nos cellules…
Mais le sommeil est aussi plaisir « Sound Of Silence »!
C’est l’amour que je vis avec toi. A fond!
Je t’aime…..

Publié dans : Câlins, Pôesie | le 12 février, 2011 |Pas de Commentaires »

CÂLINS 4

Allonges toi, je te masse.
Le cou, les épaules, le dos, les fesses, les cuisses, les jambes et les pieds. Beaucoup les pieds. Ils sont remplis de terminaisons nerveuses et tu seras au mieux dans ton corps, dans ta tête. Laisses toi aller. Détends toi complètement….
Je t’aime.

Publié dans : Câlins, Pôesie | le 12 février, 2011 |Pas de Commentaires »
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